« I quit » veut dire plus que « Je démissionne »
Australie, Etats-Unis, Japon, Royaume-Uni, Allemagne, France mais aussi la Chine et l’Inde, toutes les grandes économies sont touchées. L’enquête mondiale de Microsoft, The 2021 Work Trend Index, menée auprès de 30 000 salariés indique que 41% d’entre eux envisageaient de démissionner ou de changer de profession cette année. 53% annoncent donner désormais la priorité à la santé et au bien-être sur le travail.
Prenons quelques exemples.
En Australie, la Banque Nationale d’Australie estime, en 2021, qu’un salarié sur 5 a changé de travail l’année passée et qu’un quart songe à quitter son emploi.
Aux Etats-Unis, l’US Bureau of Labor Statistics indique qu’en 2021, 47 millions d’Américains ont volontairement démissionné. Certains vont jusqu’à mettre en scène sur les réseaux sociaux (TikTok Live) leur démission et les videos #QuitMyJob ont été vues plusieurs centaines de millions de fois.
En France, une enquête récente d’Harris Interactive sur le bien-être mental des salariés précise que 91% des salariés estiment que les difficultés psychologiques sont de plus en plus répandues au travail. 71% des salariés ayant déjà fait face à une difficulté psychologique veulent changer de poste, d’entreprise ou envisagent une reconversion. Finalement, les trois premiers facteurs de démotivation des salariés sont la fatigue (66%), le stress (55%), la perte de motivation (52%).
Face à ce phénomène, on peut avoir deux attitudes : s’interroger et disserter à n’en plus finir sur les causes ou trouver des solutions pragmatiques et répondre aux aspirations concrètes des salariés.
En tant qu’activiste de la Food Tech, je sais que « I quit » veut dire plus que « Je démissionne ». C’est aussi une grande aspiration à plus de sens, plus de valeurs et davantage de solutions.
En tant que dirigeant d’entreprise et multi-entrepreneur, je crois au changement, au mouvement, ils sont là sous nos yeux.
Le Big Kit
De quoi ont besoin les salariés démissionnaires ? D’un ensemble de valeurs, de méthodes et de résultats. C’est ce que j’appelle le « Big Kit ».
Des valeurs : respecter les valeurs auxquelles on croit donne de la valeur à notre activité. Nos valeurs transforment une activité en engagement. Je suis par exemple convaincu que nous pouvons faire de la vente directe un levier de progrès, de bien-être et de santé, tout en misant sur une production Made in France responsable et durable.
En France, nous ne parlons pas assez de la vente directe, en face-à-face ou par les réseaux sociaux. Ce type d’activité n’est pas assez reconnue et valorisée, pourtant c’est un entreprenariat choisi, souple et sur-mesure.
La vente directe, ce sont ces fameuses réunions dites « Tupperware » qui permettent de mettre en relation un vendeur dans un lieu non destiné à la commercialisation (domicile/entreprise…).
Une méthode : Le Big Kit, c’est aussi une méthode pour développer son activité et son engagement qui soient en accord avec ses valeurs.
Des résultats : les résultats sont bien là. Selon la Fédération de la Vente Directe, en 2020, la vente directe a généré un chiffre d’affaires de 4,4 milliards d’euros en France et de 193 milliards d’euros dans le monde. Elle compte 713 770 collaborateurs et environ 63 000 emplois indirects. 14 000 emplois ont été créés. La France est à la 9ème place mondiale.
Est-il besoin de préciser que les réseaux sociaux sont aussi devenus des supports commerciaux de présentation, de promotion et de vente de produits ou de services ? Les chiffres sont exponentiels et ne décrivent pas un effet de mode, mais une pratique intégrée et normalisée chez les utilisateurs.
Les vraies possibilités offertes par le « Big Kit » sont autant de réponses enthousiastes et à portée de mains aux statistiques inquiétantes pour les uns, excitantes pour les autres, du Big Quit. Le Big Kit proposé par la vente directe est moderne, adapté et accessible. En effet, en reposant sur une offre de produits responsables et made In France, et sur une communauté d’affaires solidaire et éthique, il est la réponse parfaite aux aspirations sous-jacentes du Big Quit.
Et nous sommes déjà plusieurs centaines de milliers à nous engager quotidiennement pour construire librement un monde meilleur !